Le
dialogue entamé ce mercredi 18 février entre les partenaires sociaux et le
gouvernement peut-il aboutir ?
On peut bien sûr, douter de la représentativité des organisations syndicales et
souligner, une fois de plus, qu’elles sont financées par l’État, que leurs
comptes sont opaques, qu’elles bénéficient d’un monopole de représentativité
parfaitement scandaleux, que seulement 8% des salariés français sont syndiqués
et que les chômeurs sont laissés pour compte.
Mais là n’est pas le fond du problème...