- Pendant 60 ans l’industrie du disque nous a obligé à payer pour dix titres de musique même s’il n’y en avait qu’un seul qui nous plaisait.
- Pendant 60 ans l’industrie du disque nous a obligé à repayer les droits d’auteur dont nous nous étions déjà acquités pour un disque abimé ou rayé.
- Pendant 60 ans l’industrie du disque nous a gonflé en sélectionnant puis en faisant la promotion des mêmes artistes du "box office" et en jetant les autres aux oubliettes.
- Pendant 60 ans l’industrie du disque n’a rendu disponible que quelques milliers de titres au même moment dans les bacs des disquaires, soit des miettes de la production musicale.
- Pendant 60 ans l’industrie du disque nous a forcé à acheter avant d’écouter.
- Pendant 60 ans l'industrie du disque a produit des compilations mélées de quelques titres inédits pour forcer la revente de morceaux déjà acquis.
Ces malfaisants prétendent maintenant nous donner des leçons
de morale sur le "piratage" ? Non mais on rêve !
Puisque l'industrie de la musique bling bling et de la vente forcée veut jouer avec le web, la réponse à ce kidnapping de l'Internet doit être proportionnée à la menace
N'achetez plus JAMAIS de CD. Comme les mines de charbon et les machines à écrire, l'industrie du disque doit disparaitre... Maintenant !
Mais eux, personne ne les regrettera.
En ce qui concerne les droits d'auteurs, les revenus de la SACEM n'ont jamais baissés depuis l'avènement d'Internet. La soi-disant défense des artistes est donc une vaste escroquerie.
1 De Tim -
Tout à fait d'accord.
Pendant des années, la plupart des artistes de majors se contentaient de faire 2-3 chansons sympa pour torcher un album, que tu étais obligé d'acheter pour écouter les 2-3 chansons que tu appréciais. Tu payais donc 20 euros pour te faire dilater le fondement et il n'y avait pas d'autres choix. Il est normal que le consommateur se venge.