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Comment lire la carte du ppf ?
Rappel des codes de lecture:
Les idées politiques ne se limitent pas à un
positionnement linéaire droite - gauche. Elles ne se limitent d'ailleurs pas
non plus à cette cartographie en deux dimensions. Mais cette
représentation, montre le libéralisme comme une deuxième dimension de la
vie politique. Le contraire du libéralisme ce n'est ni la gauche, ni la droite,
c'est l'étatisme et le dirigisme.
Les partis décrits ici sont français. Les verts allemands par exemple
occuperaient une place sensiblement différente de leurs homologues
français.
Certains partis sont marginaux ou n'existent
plus. Ils sont représentés pour leur positionnement spécifique.
Les surfaces représentant les partis ne sont
pas proportionnelles à leur poids électoral mais uniquement à leur champ
d'action idéologique sur les deux axes droite-gauche et
libéralisme-étatisme.
La présence d'une zone d'exclusion théorique tient au fait qu'une société
hautement libérale ne peut être "pilotée" ni vers la droite ni vers la gauche.
Une société libérale d'extrême droite ou d'extrême gauche est donc par
définition impossible.
Quelques personnalités étrangères
emblématiques ont été situées par rapport à cette carte du ppf.
Modifications par rapport à la dernière
édition (du 18 mars 2007):
Alain Madelin a été déplacé. Il est le seul
homme politique que nous situons en dehors de son propre (ex)parti.
Les nouveautés concernent le centre avec
l'apparition des partis de la gauche ralliée à Sarkozy et l'éclatement de l'UDF
entre MoDem et Nouveau centre.
Le PS perd les socialistes libéraux et
s'enfonce dans l'Etatisme.
1 De Le Champ Libre -
Salut Alain,
Un socialiste (pour l'intervention de l'Etat) libéral (contre l'intervention de l'Etat), c'est quoi au juste ?
Entre le libéralisme et le socialisme, il faut choisir. On ne peut pas être les deux à la fois à mon avis.
2 De alcodu -
C'était eux qui s'auto-dénommaient ainsi.
Bockel est en effet bien peu libéral dans l'absolu... mais très libéral pour le PS !
3 De Archilibéral -
Même si le PS français est profondément étatiste, sa "partie émergée" vis-à-vis de l'étatisme aurait mérité un franchissement un peu plus important de la ligne "libéralisme/étatisme". Il y a quand même au sein du PS de farouches défenseurs des libertés individuelles et quelques partisans de l'économie de marché (DSK p. ex). La bulle PS devrait à mon avis être légèrement remontée/verticalisée pour chevaucher un peu plus l'axe horizontal. Qu'en pensez-vous ? Avis d'un libéral qui s'estime à droite dans le PPF actuel et qui n'aime pas du tout le PS
4 De alcodu -
Intéressant, je note, je note.
J'ai considéré que les socialistes libéraux s'étaient évaporés vers les partis de la gauche ralliée à Sarkozy. Donc pour l'instant j'ai fait couler le PS.
Peut-être à tort. Je suis prêt à remonter le PS... Wait and see.
A propos de "couler" tout le monde a noté que l'étatisme est vers le bas et le libéralisme vers le haut (remonter, s'élever). Ce choix peut paraitre partial...
Eh bien il l'est !
5 De PhG -
Trés interessant !...
mais pas du tout d'accord pour faire "remonter" le PS, dans son état actuel : même les plus réformateurs de ses dirigeants n'abandonnent la théorie de la "révolution" (au profit d'une idéologie "réformatrice") qu'avec des circonvolutions infinies et des gages sans cesse renouvelés à leur extrème gauche...!
Si j'étais américain, je pourrai concevoir de voter soit républicain, soit démocrate, selon les élections, les enjeux et les candidats. On est loin du compte en France ! (ce n'est pas demain que je voterai PS).
Sans sous-estimer le poids des conservateurs étatistes de l'UMP, je pense que ce parti devrait quand même être positionné plus haut que le PS sur la carte du PPF...
6 De Oaz -
Autant j'avais apprécié le graphique de l'an dernier, autant je me pose des questions sur celui-ci, surtout par rapport aux éléments qui définissent la zone centrale.
Je précise que je suis adhérent MoDem et je pense que cette représentation comme un gros bloc central est loin de la réalité. Le MoDem est bien plus protéiforme que cela...
Par ailleurs, la représentation d'une "gauche moderne" + "nouveau centre" comme une sorte de pont entre PS et UMP mais plus libéral que le MoDem me parait être complètement erronée (pour ne pas dire plus)
7 De Alan de Bx -
Je pense le positionnement de Tony Blair est très interessant,et par ailleurs inoccupé dans les stratégie politico-économique actuelle, Alternative Libérale pourrait effectuer un triangle avec sa position, cela permettrait de confirmer notre libéralisme "grand angle" et se situant donc dans une zone qq peu abandonnée par tous. Merci d'y indiquer le minarchisme, ce qui me permettra de me situer (panarchiste)
@ champ libre
libéralisme n'a rien à voir avec socialisme; mais le libéralisme est social (sa philosophie en a été détournée)
@++
Alan
8 De Alan de Bx -
Autre question, ou situer le PLD. J'ai un avis, une bulle qui se confondrait avec DL qui tutoie le MPF , en partie l'UMP et le NC, je ne vois pas les anacap, a moins de les dissocier?? Force de constater que les minarchistes et anacap ne pourront rester guère longtemps au sein du PLD (parti libéral de d....)
9 De alcodu -
Donc Oaz, vous verriez le Modem placé plus haut ?
Vous qui avez le contact avec des militants du Modem, le mot libéral n'est-il pas un gros mot pour eux aussi ?
Osent-ils en parler de façon positive ?
10 De chr!s -
Bien sûr !!
P-t pas les plus anciens avec lesquels il y a des incompréhensions. Sur ce point je dois reconnaitre que vous avez raison.
11 De alcodu -
On va peut-être attendre un peu pour situer le PLD, Alan,
Prises de positions, ralliements, etc
Il faut qu'il ait un minimum de substance.
12 De Oaz -
"Oaz, vous verriez le Modem placé plus haut ?"
Comme j'ai répondu sur mon blog, je crois surtout que le MoDem a une forme plus allongée car de nombreuses sensibilités s'y cotoient et y-a-t-il vraiment un espace vide entre le MoDem et AL ?
Je ne crois pas que le mot libéralisme soit un gros mot pour nombre d'adhérents du MoDem, en tout cas pas pour moi.
Les seules connotations négatives, que d'ailleurs je partage, concernent les reproches adressés à l'encontre des multinationales qui sont -a priori- le produit du libéralisme économique tel qu'on le connait.
Peut-être est-ce par manque de culture concernant le "libéralisme" ?
Pour ma part, j'ai toujours du mal à concilier un plus grand laissez-faire au niveau des entreprises et le pouvoir que certaines d'entre elles finissent par acquérir. Dit autrement, le pouvoir d'un état fort qui décide de tout ne me branche pas mais celui d'une entreprise en situation monopolisitique qui impose sa vision pour maximiser son profit me branche encore moins.
13 De chr!s -
Effectivement Oaz, il y a des ponts entre le MoDem et Alternative Libérale.
Liens qui je l'espère vont se renforcer avec le dernier ( ?!?) coup d'éclat de Zimmern, et (enfin) le retour de Véron A.
Après ...faire accepter le Libéralisme comme un Radicalisme et non simplement comme une boîte à idées, cela va être plus difficile.
14 De alcodu -
Notre analyse nous fait dire que les multinationales ne sont pas le produit du libéralisme économique, bien au contraire elle sont - généralement - le produit de l'étatisme.
Le rôle libéral de l'Etat Oaz, doit être de casser les monopoles, pas de les entretenir ou de les favoriser (fusion GDF Suez par ex.).
Toutes les grandes entreprises françaises sont liées au capitalisme d'Etat. Leur réussite et la taille qu'elles ont acquises proviennent de marchés d'Etat, de concessions d'Etat ou de capitaux d'Etat. Dans tous les domaines, industrie, syndicats, enseignement, transport, protection sociale, l'Etat crée des monopoles. C'est bien l'Etat qui encourage les concentrations et les regroupements d'entreprises.
Nous pensons qu'en régime libéral, sans clientélisme sans corruption, sans patriotisme économique et avec une vraie concurrence, les sociétés privées auraient beaucoup de mal à établir un monopole durable.
Mais si elles y parvenaient, le rôle de l'Etat serait de le briser. Fermement.
L'Etat joue un rôle exactement contraire dans notre société.... et se plaint du "pouvoir" des multinationales qu'il a lui-même contribué à créer.
15 De Alan de Bx -
Excellent commentaire Alain
Il devrait être diffusé plus largement, car il est essentiel. Nombre de citoyens se font balloter....Un contre argumentaire des plus important à soumettre à Tous (voir svp le pôle argumentaire, les choses les plus simples sont parfois et souvent essentielles à la compréhension!)
Une tribune serait pas mal non plu...
Bien à Toi
@+Alan
16 De Oaz -
Merci pour ces informations qui tranchent avec le discours que j'ai entendu jusqu'ici, autant de la part de ceux qui se réclament du libéralisme que de ceux qui le fustigent.
Ces réponses m'amènent à poser une autre question.
"Mais si elles y parvenaient, le rôle de l'Etat serait de le briser"
N'y a-t-il pas une contradiction entre le fait de vouloir un état moins intrusif dans le domaine économique et malgré tout, prévoir pour l'état un rôle régulateur au cas où un régime libéral accoucherait quand même d'une situation de monopole ?
17 De alcodu -
C'est une question classique (et légitime) qui est souvent mise en avant par les libéraux eux mêmes.
L'Etat libéral est un Etat fort et respecté. Ce n'est pas du tout un Etat faible.
Son champ d'intervention est réduit, il redonne de l'initiative aux individus, mais ses actions sont fermes.
Elles sont bien sûr toujours basées sur le Droit et non sur l'Ordre Public.
Il faut lire par exemple "la philosophie libérale" d'Alain Laurent, excellente introduction à une pensée libérale "grand angle" (avec un chapitre sur le libéralisme "de gauche").
Histoire des idées, bibliographie. C'est passionnant, même si je ne suis pas d'accord sur tout...
18 De jani-rah -
Quelques réactions :
-Le poids donné aux progressistes et à gauche moderne est surévalué largement.
-Les verts sont plus hétéroclites que cela, et Voynet et Mamère ne me semblent pas si étatistes que cela.
-La vision du PS est faussée : le départ de Bockel est marginal, aujourd'hui des gens comme Valls, qui pèsent plus, reprènent quasiment son positionnement. la déclaration de principe montre une acceptation de l'économie de marché etc.
-Ségolène Royal me semble à la fois moins à gauche et moins étatique que DSK, mais pas tout le temps (elle souffre d'inconstance et d'incohérence...)
19 De alcodu -
Attention, les surfaces ne représentent que le champ idéologique. la surface ne représente pas (du tout) l'importance numérique ou l'influence. D'ailleurs certains partis n'existent plus.
Pour le PS c'est la deuxième remarque qui le situe trop bas.
Je note !
En ce qui concerne SR et DSK, on pourrait peut être situer SR plus à droite mais pas moins étatique que DSK je pense.
20 De alcodu -
@ 14 Bordes
Je suis bien obligé de situer les anarchistes à leur place c'est à dire tout en haut de cette représentation.
Il est de fait que les anarchistes de gauche et de droite se retrouvent proches ce qui peut paraitre étrange, mais les anarcap récusent, eux aussi, toute idée de Loi de la jungle ou de Darwinisme social. Ils sont aussi contre toute forme de coercition et pour tout dire leurs théories me paraissent plus réalistes que celles des anarchistes de gauche car elles ont une structure. Il est donc finalement assez normal qu'ils se côtoient dans le ppf. Si on voulait éloigner ces deux formes d'anarchie, alors peut-être faudrait-il situer les anars de gauche en pleine zone d'exclusion théorique ! Dans une zone d'impossibilité.
En ce qui concerne les théories anarcaps je suis convaincu qu'elles ne peuvent pas "marcher" (le bouquin d'Hernando de Soto en apporte à mon avis la preuve éclatante)
Mais il faut toujours lire et écouter les anarcaps, ils sont toujours intéressant. ils sont à la politique ce que l'étude d'une fonction aux limites est aux mathématiques.
21 De mika -
Il faut peut être enlever Romano Prodi puisqu'il s'est retiré de la vie politique et qu'il n'a jamais vraiment eu de parti qui le soutient. Il vaut mieux mettre Walter Veltroni qui ,avec le parti démocrate italien, a crée un nouveau positionement en Italie et en Europe en proclamant que la gauche et la droite étaient des divisions dépassées et qu'il fallait rompre avec l'étatisme. Contrairement à certains mouvements qui se considèrent encore de gauche (New Labour), le parti démocrate désire rester dans un cadre strictement libéral (dans sa version modérée)
22 De Boris -
Le schéma est très intéressant. Il donne une représentation plus réaliste que le positionnement standard droite/gauche, façon Nolan. Cependant, il me semble que de réutiliser les concepts de droite/gauche fausse le schéma et donne une mauvaise idée. Ce qui fait, par exemple, que le FN est très à droite, ce sont ses positions sociétales, son "dirigisme", non pas ses positions économiques. Or, si votre schéma a pour volonté de représenter fidèlement les partis selon un axe de libertés sociales et un axe de libertés économique, il est erroné... Aussi, Alternative Libérale se retrouverait beaucoup plus "à droite", à cause de sa position libérale économique, même si dans le paysage politique français, ce serait faux. C'est pour ça qu'il faut vraiment trouver une alternative à ces notions totalement dépassées de gauche et de droite, ce qui fait que nous, vrais libéraux, sommes parfois bien mal compris...
Cordialement,
Un futur adhérent
23 De alan de bx -
Bienvenue à toi Boris, n'hésite surtout pas
Tout à fait d'accord avec toi sur ce clivage G/D....
Avant cela il fut une époque ou nous parlions de Mouvement et d'ordre établi, ne pourrions nous pas Alain réfléchir à cela en substituant Gauche par mouvement et Droite pour l'ordre établi, les deux étant nécessaire, mais mesuré au sein de nos républiques. Cela permettrait effectivement de positionner plus facilement bon nombre de "parti"et pourrions observer alors un grand nombre de conservatisme; ce qui est dans l'air du temps , il me semble depuis 3 decennies au moins...
Alan de Bx
24 De Timothée -
Ce graph est ecellent, un grand merci!
25 De LOmiG -
Bonjour,
j'ai un problème avec ce graphe. AUtant je comprends assez bien l'échelonnage sur l'axe vertical, autant l'axe gauche/droite demanderait à être précisé.
Une proposition de mesure politique est facile à placer sur l'axe vertical, selon qu'elle est plus ou moins étatiste, plus ou moins libérale (au moins des propositions entre elles). Mais sur l'axe gauche-droite...? C'est quoi le sens de cet axe ? Réformistes / conservateurs ? il faut préciser ça fait perdre beaucoup de force à l'interprétation du graphe, puisque chacun selon ce qu'il met dans droite et gauche, peut l'interpréter à sa guise...
qu'en pensez-vous ?
bravo quand même pour le boulot, pour en discuter...
26 De alcodu -
La remarque est bonne.
J'y répondrais tout simplement en faisant remarquer que ce sont les partis eux-mêmes qui définissent leur positionnement sur l'axe gauche-droite.
Si on cherche à mettre des valeurs morales ou de grands principes sur l'axe gauche-droite on devient rapidement assez sceptique sur la pertinence de cet axe. C'est ce que vous soulignez avec justesse.
On pourrait par exemple situer le conservatisme à droite, mais une partie des socialistes, les écologistes et les étatistes du centre gauche peuvent être qualifiés de conservateurs à bien des égards.
Un des caractéristiques de la gauche est l'égalitarisme, coercitif, mais on le retrouve parfois aussi à l'extrême droite.
La "valeur-travail" est revendiquée aussi bien par une partie de la gauche, dont l'extrême gauche, que par la droite. Idem pour le "mérite" qui est une valeur commune à la droite et aux communistes.
Les valeurs patriotiques et nationales sont, bien sûr le terrain de la droite, mais on les retrouve chez les chevènementistes ou chez les gaullistes de gauche.
L'axe droite - gauche c'est donc bien le grand foutoir idéologique.
Il n'empêche, je le rappelle, que l'hémicycle du palais Bourbon est divisé en deux parties - droite et gauche et qu'il va bien falloir choisir où nous allons nous asseoir.
C'est en occupant une partie de cet hémicycle - notre place est "naturellement" et historiquement à gauche - que nous allons redonner du sens à cet axe.
27 De Gad -
Modele interessant que celui que vous proposez. J'ai etonne neanmois par quelques placements. Tony Blair me parait un peu trop a gauche sur l'echiquier francais. De meme pour Dupont Aignan, c'est sans doute sa vision gaulliste social qui vous le fait placer plus pres de la barre de gauche, pourquoi pas apres tout?
Sur mon site, un auteur s'est livre a une analyse plutot drole, un peu dans le meme style, je vous invite a venir la lire. Ca vaut le detour!!!
http://www.lumieresdumonde.net/arti...
28 De Michel MARTIN -
Les axes choisis recoupent les grilles d'analyse des structures familiales d'E. Todd, à savoir Libéral/autoritaire et égalitaire/inégalitaire. En faisant ce rapprochement, on bénéficie d'emblée de tout son travail de corrélation entre structures familiales et orientations politiques.
29 De tetatutelle -
Très pertinente analyse Michel, voici l'aveu même formulé du "caractère pleinement moral de la politique" ! Ainsi donc de la même manière qu'il y a "des pères autoritaires et des pères libéraux" avec leurs enfants au niveau éducatif, il y a "des politiques autoritaires et des politiques libéraux" avec les citoyens qu'ils sont chargés d'administrer (ou seulement "d'orienter philosophiquement" dans le cas des diverses doctrines anarchistes) : analyse que "je partage pleinement" !
30 De MN -
Bon j'arrive un peu après la bataille (pour un ou deux ans on va pas mégoter),
Mais le fameux "désert idéologique" me semble plus que questionnable: le croisement "socialisme libertaire", c'est à dire une frange somme toute très active (bien qu'ultra-minoritaire) de la vie sociale se retrouve simplement oblitérée par cette appellation...
Ne pensez vous pas qu'une fraction de l'extrême gauche organisée (tous les gauchistes ne rêvent pas d’interventionnisme à la Chavez, et c'est peu dire) devrait au contraire y trouver sa place?
Si l'objection qui me sera faite concerne le fait que cette carte représente les partis politiques et non les tendances, je suggérerais de changer le nom du "désert idéologique" pour, que sais-je, un "désert représentatif" ou toute autre appellation ad hoc capable de rendre compte du fait qu'une telle idéologie (nous y voilà) ne saurait souffrir la médiation par LE politique (ou l'éternel contre-sens du "parti anarchiste" ou de toute machine électorale à visée libertaire).
Sinon rien à redire (à part que l'axe gauche/droite est toujours problématique puisqu'en France il recoupe partiellement mais pas totalement des clivages autour de la religion/laicité, libéralisme économique/protectionnisme, progressisme/conservatisme - notamment sur les questions de moeurs - etc, etc...).
A quand des cartes 3D?
Cordialement,
MN