Le vrai visage de l'écologie politique
L'écologie politique est un nouveau mouvement
de nature globale. Après la tribu, la famille, le clan, la Nation, la "société"
et la religion, voici la "Nature" dans laquelle l'individu doit être intégré et
à laquelle il doit se soumettre. Les problèmes environnementaux, bien réels,
doivent-ils être traités de façon rationnelle ou, comme on l'observe, provoquer
l'émergence d'une nouvelle morale globalisante et quasi religieuse, avec ses
porte-parole autoproclamés et ses grands prêtres ?
L'article de Peter Staudenmaier sur les racines d'extrême droite de la philosophie écologiste et sur sa mise en œuvre pratique et théorique sous le IIIe Reich a été initialement publié en 1995 dans Ecofascism: Lessons from the German Experience (San Francisco: AK Press, 1995). L'ouvrage a été réédité en 2011 dans Janet Biehl and Peter Staudenmaier, Ecofascism Revisited (Porsgrunn: New Compass Press, 2011).
Curieusement aucune traduction française de ce texte n'avait jamais été rendue disponible avant ce jour. C'est pourquoi, avec l'accord de l'auteur, j'ai pris l'initiative de traduire cet article qui éclaire les relations de l'écologie avec l'idéologie nazie.
L'écologie fasciste : l'« aile verte » du parti nazi et ses antécédents historiques
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Comment mesure t-on la toxicité des pesticides ?
Cette présence de pesticides naturels dans notre alimentation nous amène à nous interroger sur les méthodes employées pour juger de leur toxicité. La méthode canonique qui est employée par les laboratoires consiste à isoler les substances présumées dangereuses et à les administrer à haute doses à des rongeurs. Si des pathologies apparaissent chez les rongeurs, le lobby bio comme l'administration sanitaire croient pouvoir en déduire que les mêmes substances, administrées à l'homme à très faibles doses sur une longue période, seront dangereuses.
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La plupart des consommateurs est persuadée que les aliments bio contiennent sensiblement moins de pesticides que les aliments de l'agriculture traditionnelle et qu'ils sont donc "meilleurs pour la santé". Pour juger de la pertinence de cette croyance il faut d'une part définir la notion de pesticide, et d'autre part examiner comment est mesurée leur toxicité présumée. En effet, Le lobby bio, extrêmement actif aussi bien auprès des pouvoirs publics que des médias, délivre une information biaisée via la publication de pseudo "tests" qui n'ont aucune valeur scientifique. Alors que l'agitation perpétuelle entretenue par les associations écologistes bénéficie d'une importante couverture médiatique, les démentis de la communauté scientifique passent inaperçus puisqu'ils interviennent toujours quelques semaines ou quelques mois après la publication des tonitruantes "révélations" du lobby bio.
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Au moment où la
multinationale écologiste WWF va encore nous inviter à éteindre la lumière
pendant une heure au cours de laquelle “l’ensemble de la communauté
mondiale réfléchit à son impact sur le climat pour trouver des solutions face
au changement climatique” (Source WWF France), il est fascinant d'analyser
l'incroyable niveau d'allégeance de la classe politique à cet évènement
navrant.
Inutile ici de revenir sur les points que tout le monde peut percevoir, à
savoir le caractère rétrograde de ce mouvement qui allie à une repentance
malsaine, un franc mépris pour tous ceux qui n'ont pas accès à
l'électricité.
C'est le comportement de nos femmes et hommes politiques qui est le plus
intéressant.
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Depuis quelques mois, le
lobby écologiste emploie régulièrement l'expression
"négationnisme climatique" pour désigner l'opposition
scientifique et publique croissante aux thèses du GIEC sur le réchauffement
global. Cette attaque des écologistes intervient en plein climate
gate, le scandale qui a permis d'établir que les mesures de températures
qui servent de base à la théorie du GIEC ont été falsifiées par l'organisme
chargé de les présenter.
L'utilisation de cette expression, qui établit un parallèle entre les
climato-sceptiques et ceux qui nient l'existence des chambres à gaz répond à un
triple objectif.
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En 1895, Gustave Le Bon publie Psychologie
des foules. Considéré comme un classique ce texte concis de 125 pages est
publié aux PUF dans la collection "quadrige - grands textes".
L'ouvrage a été traduit en plus de dix langues et s'avère un point de passage
obligé en sociologie (1).
Les réactions de l'opinion à la propagande écologiste possèdent les grandes
caractéristiques de la psychologie des Foules si bien décrite par Gustave Le
Bon à savoir : intolérance, autoritarisme, conservatisme, exagération,
simplisme, suggestibilité, crédulité, impulsivité, mobilité, irritabilité.
Mais lisez ce qu'écrit Gustave Le Bon dès 1895 :
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Les mouvements écologistes manipulent une somme impressionnante d'idées
réactionnaires tout en se présentant comme "progressistes" et soucieux de
l'avenir de l'humanité. Comme le Front National ils jouent systématiquement sur
la peur pour conquérir leur électorat.
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Les écologistes font ressurgir une notion qu'on croyait avoir oubliée,
celle de parti religieux. Ils incarnent en effet une résurgence d'un animisme
primaire, celui qui prête à La Nature tous les pouvoirs réparateurs et à
l'industrie humaine tous les péchés.
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Les écologistes se recrutent parmi les petits-bourgeois - classe sociale et
non habitants des villes - qui ne savent pas trop quoi voter et qui ont
l'impression de ne pas faire de politique ou de faire de la politique
"autrement" en votant écologiste.
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La dernière trouvaille des écolo-alter-mondialistes et des néo-babas c'est
le "commerce équitable". Le summum de la condescendance et du mépris vis à vis
des pays pauvres.
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Parmi les mouvements écologistes on trouve des
cercles de réflexion qui veulent trouver une alternative à la croissance comme
une fin en soi. A quoi bon rechercher la croissance à tout prix ? Faut-il
toujours consommer plus pour être heureux ?
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Un cas d'école de la défaite de la raison face à
l'opinion nous a été donné par les Verts lors du naufrage de l'Erika en
décembre 1999. Rappelez vous. Dominique Voynet, alors ministre de
l'environnement du gouvernement Jospin
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Comme la plupart des religions, comme l'extrême droite ou comme les
communistes en leurs temps, les écologistes utilisent des données scientifiques
dans l'unique but de conforter leur théories. Ils possèdent leurs
scientifiques officiels qui détiennent La Connaissance. Ces "experts",
organisés en un puissant réseau d'influence, ont leur avis sur l'énergie
nucléaire, sur les OGM, sur le réchauffement planétaire. Eux, ils Savent !
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Dans le domaine nucléaire, le lobbying écologiste a produit des effets
spectaculaires. L'Europe et les Etats Unis ont ralenti leurs programmes de
recherche et l'ouverture de nouvelles centrales. Les dégats pour
l'environnement sont importants, mais peu importe, le dogme doit être respecté
!
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Pendant l'interdiction des OGM qui dure depuis 1999 en France et qui a fort
heureusement pris fin en 2004, 30000 français sont morts sur les routes dans la
plus grande indifférence des écologistes. Les OGM n'ont pas fait une seule
victime dans le monde entier.
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Officiellement les dirigeants
écolo-alter-mondialistes tiennent un discours différent de la dangerosité
alimentaire ; ils s'inquiètent des possibilités de "contamination" de champs de
maïs "naturel" (résultat de multiples hybridations et sélection) par le
transgénique cultivé à proximité.
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Les écologistes veulent offrir à nos enfants, aux générations futures, une
planète propre, non polluée. Ils se présentent comme des altruistes qui pensent
aux générations futures, contrairement à nos ainés et aux "politiques"
traditionnels qui ne pensent qu'à la croissance et aux profits.
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Les écologistes et l'extrême gauche sont de ceux qui pensent (ils ne sont
pas les seuls dans le paysage politique) que les pays industriels, c'est à dire
les pays riches, "gaspillent" les matières premières qu'ils "pillent" aux pays
pauvres. A celà deux réponses :
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L'écologie est une science. C'est l'étude du comportement du vivant dans un
milieu naturel ou fermé, l'étude des équilibres naturels impliquant le
vivant.
La chimie aussi est une science. Fort heureusement les chimistes ne
sont pas devenus un mouvement politique et
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